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Dr. Moussa Ibrahim a dit aux italiens: “Réjouissez vous, l'Italie, buvez l'eau de mer au lieu du pétrole libyen.”

Etats-Unis d'Afrique :  Il y a deux jours, le porte parole de la jamahiriya libyenne, le Docteur Moussa Ibrahim, a annoncé que l'armée libyenne a détruit le plus grand parc pétrolier de la Libye, Babou Afel, que l'Italie exploite et qui exporte 130.000 barils par jour. 15 puits ont étés fait explosés.

Cette plateforme est située à 300 km au sud de Benghazi. Elle est gérée par la société italienne ENI.

Le gouvernement de la Jamahiriya avait annoncé que cette destruction était nécessaire, afin de stopper le pillage des ressources pétrolières libyennes, tout en précisant que tout sera reconstruit après la fin de l’agression terroriste criminelle contre la Jamahiriya. (InshaAllah)

Le Dr. Moussa Ibrahim a dit aux italiens: “Réjouissez vous, l'Italie, buvez l'eau de mer au lieu du pétrole libyen".


Le Dr. Moussa Ibrahim a aussi récemment publié une invitation adressée aux honnêtes tribus libyennes,  à rejoindre l'armée libyenne dans laquelle, il leur est dit : “Vous êtes invités à rejoindre les rangs de l'Armée Nationale libyenne, l'Armée du Droit et de la Justice.”

Une trentaine de mercenaires de l'OTAN tués dans un raid de nuit

 Selon de nouveaux rapports, les Forces de défense libyenne de Syrte ont facilement réussi à percer les lignes de front Sud, tuant 30 et blessant un nombre inconnu de mercenaires de l'OTAN pendant un raid nocturne.

De nombreux rapports montrent que la stratégie “pousse en avant et tire en arrière” des Forces de défense libyenne, fonctionne parfaitement contre les Mercenaires.

Les Forces de Défense libyennes poussent les mercenaires à reculer des lignes de front en tuant un maximum d’entre eux au cours du processus. Ensuite des pièges sont installés et une opération “tire en arrière” est lancée. À chaque vague de “pousse en avant et tire en arrière”, les mercenaires de l'OTAN reçoivent de lourdes pertes et cela a pour effet, a force, de les démoraliser.

A chaque fois que les Forces de Défense libyennes “tirent en arrière” et laissent tomber les mercenaires dans les pièges, la propagande de l'OTAN crie victoire, comme cela a été le cas ces jours derniers.

La Ville de Bani Walid a été nommée capitale provisoire de la Libye jusqu'à la libération totale du pays. De plus, un nouveau Drapeau a été produit jusqu'à la libération complète du Pays, il est encore vert, mais il y est inscrit au centre «Allahou Akbar». «Allahou Akbar» signifie «Dieu Est Le Plus Grand».

 

Armes chimiques utilisées dans Bani Walid ?

Les résidents de Bani Walid ont témoigné que des armes chimiques sont utilisées par l'OTAN dans leur ville...
Certains témoins ont affirmé que le gaz moutarde était utilisé (cela avait été rapporté par la station de télévision Satellite Al-Rai). L'OTAN est connu pour son utilisation d'armes chimiques, et les rapports précédents ont également conclu que l'OTAN a utilisé du DU et des armes chimiques NDU au début de la terreur


Syrte sous control de l'Armée Verte, des Moujahidin et des volontaires

Syrte est contrôlée par l'armée verte libyenne, les moudjahidin de la Jamahiriya et les volontaires libyens.
Une contre attaque de l'armée libyenne et des moudjahidin libyens a contraint les mercenaires de l’OTAN a fuir la ville. Dans cette opération plus de 10 mercenaires de l'OTAN ont été tués, plus de 40 autres blessés et 4 tanks ont été saisit.
De nombreux moudjahidin libyens et volontaires libyens de Bani-Walid, Tarhûnah, Sebha et autres villes sont venu à Syrte, pour lutter contre les mercenaires de l'OTAN.

Les villes de Syrte, Bani-Walid, Ghadamès, Tiji, Bar Al-Harush, Koufra, Tobrouk, Al Baydam Dermam Al-Marld, Al-Biar, Al-Brega, Ras Lanuf, Ragdaline ainsi que tous les puits de pétrole au sud de la Libye sont contrôlés par l’Armée Verte de la Jamahiriya et les moudjahidin libyens.


Un avion de la 82e Division Para Aéroportés abbatu à Sebha 

Au nord de Sebha, un avion a été abattu et 383 mercenaires de l’OTAN de la 82e parachutistes aéroportés de Caroline du Nord ont perdu la vie.
Le 01 Octobre 2011, la 82eme Division de Parachutistes aéroportés de Caroline du Nord, avait déjà été mise en échec alors qu'elle tentait un débarquement aéroporté sans autorisation de la Jamahiriya. 

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Mouammar Kadhafi a adressé un nouvel appel à manifester ce jeudi alors que les combats font rage à Syrte notamment.


Nouvel appel de Kadhafi, combats intenses à Syrte
Les combats continuent en Libye, ils s'intensifient même à Syrte, à 360 km à l'est de Tripoli, où les forces fidèles au colonel Kadhafi livrent une résistance acharnée. Les combattants insurgés s'engageaient ce jeudi dans des combats de rue tandis que la voix du dictateur déchu résonnait de nouveau.

Un message diffusé dans la soirée par la chaîne basée en Syrie, Arraï. "Je leur dis n'ayez peur de personne, vous êtes le peuple, vous appartenez à cette terre. Faîtes entendre votre voix contre les collaborateurs de l'Otan", a lancé le colonel. Un nouvel appel qui intervient deux semaines après un précédent message audio adressé à ses troupes.

Depuis près un mois et demi et la chute de Tripoli, l'ex leader libyen reste introuvable. Une partie de sa famille est toujours en fuite ou a trouvé refuge en Algérie.

Plusieurs zones de combats
Un journaliste de l'AFP rapporte notamment que les forces du CNT tentaient dans la soirée, ce jeudi, de reprendre un axe stratégique à Syrte, mais sous les balles de tireurs embusqués, la progression des rebelles s'avère périlleuse.

"Nous allons tenter de nous emparer ce soir de cette avenue pour empêcher les mouvements ennemis. La zone ici est trop dangereuse au milieu des habitations, nous devons prendre cet axe", a expliqué Nagib Mismari, un officier du CNT interrogé par l'agence.

Des combats ont également lieu dans d'autres zones du pays. De violents affrontements opposant les deux factions se déroulaient ce jeudi à Ragdaline, une localité située à 130 km au sud de Tripoli. La résistance des pro-Kadhafi reste également vive à Bani Walid, là où le fils du "guide", Seif al-Islam, pourrait avoir trouvé refuge, et même Mouammar Kadhafi en personne. Mais rien ne permet de l'assurer.

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Etats Unis d'Afrique ( LVO) : Malgré sa supériorité écrasante dans les airs, l'OTAN est battu sur le terrain. Aujourd'hui, les citoyens de Bani Walid, à l'aube, ont eu une surprise. Au lieu de bombes conventionnelles, des avions de l'OTAN ont largué des milliers de tracts offrant aux résidents de quitter la ville.

Ce soir (30 Septembre) nsnbc a confirmé que le siège de Bani Walid et Syrte a échoué. Bien qu'il y ait de sévères affrontements autour des deux villes. La résistance est composée des forces militaires et des milices tribales qui ont œuvré de concert.

De violents combats ont éclaté aujourd'hui sur la place verte à Tripoli. Un dépôt de munitions de l'OTAN dans le port de Tripoli a été saisit par les forces libyennes fortement engagées dans la reprise de l’aéroport militaire, ainsi que la reprise de l'aéroport civi de Tripolil.


Les milices tribales de la zone de Zintan conduisent la reprise de Tripoli, qui avaient été capturés par le CNT. Des bénévoles de Zintan ont également pris d'assaut la prison et libéré de nombreux prisonniers. Toutes ces personnes avaient été capturées au cours des derniers mois de combats. Les résultat de l'opération à cette heure est que le drapeau vert est hissé au dessus de 80% de Tripoli.

Le proverbe dit «le bateau coule et les rats quittent le navire»

La plupart des membres du CNT ont abandonné leurs «portefeuilles» et enveloppes. Abdelhakim Belhadj a dit ce matin que Jalil tente désespérément d’appeler à l'unité et propose "un nouveau gouvernement." Jalil se ridiculise en appelant à l’unité dans le contexte actuel puisque près de 90% des membres du groupe de Belhadj ont quitté le CNT.

Tout cela, en tout cas, ne signifie pas que la guerre en Libye est terminée, bien sûr, mais que l'équilibre du pouvoir a changé aujourd'hui à Tripoli.

Un nouveau gouvernement de la Libye verte vient d'être constitué.

Selon Allibiya TV, un nouveau gouvernement libyen provisoire vient d'être constitué sous le chef de gouvernement monsieur Ali Mohamed El Ahwel. Il remplacera l'ancien chef de gouvernement Mahmoud Baghdadi.

Le nouveau chef de gouvernement a même nommer de nouveaux ministres provenant de différents villes libyennes comme Benghazi, Zenten, Misrata. L'objectif du gouvernement est gérer la crise actuelle.

A suivre...

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Moyens insuffisants, stratégie inexistante, soutien populaire absent : faute d'avoir gagné sa "guerre humanitaire" en quelques semaines, l'OTAN n'est pas seulement enlisée en Libye. Elle y est piégée dans une sale guerre qu'elle doit aujourd'hui mener contre le peuple libyen, au risque d'y détruire son soi-disant modèle démocratique.

Officiellement, il n'y a pas ou peu de soldats occidentaux engagés au sol en Libye depuis le mois de mars. Pas de pertes non plus. C'est un point extrêmement important puisque l'opinion publique, qui ne soutient cette guerre que du bout des lèvres, se retournerait très vite si le compteur des pertes occidentales venait à s'affoler.

C'est un élément important des guerres que mène l'OTAN (et les Etats-Unis) sur toute la planète depuis vingt ans : limiter ou éliminer toute perte officielle. C'est vital, non seulement au regard de l'opinion publique, mais aussi au regard des capacités militaires de nos démocraties. En effet, si l'on fait exception du cas américain (un déficit budgétaire doublé entre 2001 et 2001 presqu'exclusivement à cause du financement de la "guerre contre le terrorisme", un budget militaire officiel qui, à lui seul, est égal aux budgets cumulés de tous les autres Etats de la planète), les pays occidentaux n'ont pas les moyens militaires de leurs ambitions géopolitiques.

C'est en particulier le cas de la France qui, avant d'intervenir en Lybie, était déjà au maximum de ses capacités humaines (et financières) de déploiement de troupes en dehors du territoire national. Au point de faire appel, pour boucher ses manques d'effectifs en métropole, à des réservistes ou retraités.

Manque de moyens

Le manque d'effectif et la professionnalisation des armées occidentales sont en partie compensés par la haute technologie et par le recours à des sociétés de mercenaires. En Lybie, ces deux artifices sont utilisés au maximum.

Mais cela ne peut suffire pour renverser un régime qui bénéficie du soutien d'une grande partie de la population. De même, les rebelles manquent cruellement d'effectifs depuis le début du conflit. Il y a une grande différence entre mener une insurrection armée pour s'emparer d'une ville et investir tout un pays.

Il a donc été nécessaire d'aller chercher des troupes. Il est presque certain aujourd'hui que la composition des forces rebelles est très hétéroclite. Elles comptent bien sûr des autochtones anti-Kadhafi, ceux que l'on exhibe volontiers. Mais elles comptent une grande partie d'islamistes, de repris de justice, de mercenaires recrutés à la va-vite en Egypte ou en Tunisie. Une masse de combattants sans expérience ni formation, qui forment la chair à canons et qui animent le story-telling pro-occidental. Ils sont encadrés par des forces spéciales occidentales. ils sont soutenus par d'autres soldats professionnels originaires du Qatar ou de Jordanie, ainsi que par les salariés de sociétés occidentales de mercenariat.

Tout cela est suffisant pour mener des coups de main, pour parader dans les rues désertes de villes soi-disant prises aux loyalistes. Mais cela ne peut suffire à conquérir le pays, ni même à mener de véritables combats urbains, voraces en troupes expérimentées. Aujourd'hui, comme hier, on ne prend pas une ville correctement défendue sans livrer de combats au corps à corps. On ne les conserve pas non plus sans y laisser des garnisons suffisantes. Or, en Lybie, les positions stratégiques sont essentiellement des villes.

Sièges moyen-ageux

A défaut de disposer de la nécessaire infanterie, manquant aussi d'un véritable soutien dans l'ensemble de la population, l'OTAN et les rebelles en sont réduits à mener une guerre de siège. Fin août, Tripoli n'a pu être prise que grâce à la trahison d'un des commandants loyalistes. Aujourd'hui encore, la ville n'est toujours pas sous contrôle des rebelles. Les autres cités favorables aux loyalistes, notamment Bani Walid, Syrte et Sabha, sont assiégées. La population civile y est prise en otage, non pas par les loyalistes, mais par l'OTAN, qui utilise l'écran des forces rebelles pour interdire la fuite à ces malheureux civils.

On leur coupe l'eau, les vivres, les médicaments, l'électricité. On les bombarde au quotidien, par concentration d'artillerie, par avions et par drones. On les terrorise en organisant des exactions. On interdit l'accès de ces villes au Croissant rouge ou à la Croix-Rouge, ainsi qu'aux journalistes. On les bloque donc dans des zones de combat, en misant sur le fait qu'ils se révolteront contre ceux qui les défendent, à savoir leur propre armée. En même temps, en contraignant les civils à rester sur place, on limite d'autant plus les ressources nécessaires aux combattants loyalistes.

Ce n'est donc pas une guerre "humanitaire" que livrent les croisés de la démocratie, mais exactement le contraire, à savoir le plus moyen-ageux des conflits, où l'on préfère hypocritement sacrifier des civils plutôt que de risquer des pertes militaires. C'est la plus sale des guerres.

C'est la plus sale des guerres, dans laquelle l'OTAN s'enlise, contraint de s'allier aux barbares d'Al Qaida. C'est la plus sale des guerres, qui est la conséquence d'une stratégie de départ erronée. Bluffé par Bernard-Henri Lévy, aveuglé par ses calculs de politique intérieure, trompé par l'apparence d'un succès en Côte d'Ivoire, où Gbagbo n'a résisté que quelques jours, Nicolas Sarkozy pensait mener une guerre éclair en Lybie.

Il était certainement persuadé que le colonel Kadhafi ne tiendrait pas longtemps sous ses bombardements, avec contre lui son propre peuple. L'erreur, c'est que Kadhafi, n'en déplaise aux démocrates de salon, est effectivement soutenu par son peuple. Il n'y a pas d'autre explication au fait qu'il a résisté à plus de six mois d'agression aérienne et maritime. Aujourd'hui, pour gagner la guerre de Lybie, l'OTAN en est réduit à vaincre le peuple lybien. On est à l'opposé complet des objectifs de la résolution 1973. Et c'est non seulement un peuple que l'Occident déboussolé est en train de massacrer, mais c'est aussi son propre modèle de démocratie.


http://www.agoravox.fr/actualites/international/article/la-sale-guerre-de-l-otan-en-libye-101333

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Muammar Kadhafi a affirmé qu’il ne se rendrait pas et s’est dit prêt à une longue bataille même si le pays “brûle”, dans un message sonore diffusé jeudi par la télévision satellitaire Arrai. “Même si vous n’entendez pas ma voix, poursuivez la résistance”, a déclaré le colonel dans cet enregistrement retransmis à la date anniversaire du coup d’État qui l’a porté au pouvoir, le 1er septembre 1969. “Nous ne nous rendrons pas. Nous ne sommes pas des femmes et nous allons poursuivre le combat”, a lancé Muammar Kadhafi, qui reste introuvable et est traqué par les rebelles depuis la chute de son QG à Bab al-Aziziya à Tripoli le 23 août.

Il a dit être prêt pour une “longue bataille”, même si la Libye “brûle”, au moment où l’après-Kadhafi se prépare lors d’une réunion internationale à Paris après plus de six mois d’un conflit sanglant et dévastateur. Muammar Kadhafi a, en outre, fait état de “divergences entre l’alliance de l’agression (l’Otan) et ses agents (les rebelles)”. Il s’agit du quatrième message sonore de l’ex-dirigeant libyen depuis l’assaut donné, le 20 août, par les rebelles à la capitale Tripoli, qu’ils contrôlent. Le 24 août, les rebelles libyens ont annoncé une récompense de près de 1,7 million de dollars (2 millions de dinars libyens) pour la tête de Muammar Kadhafi, mort ou vif.

Message de Seif al-Islam

Jeudi, le vice-président du Conseil national de transition (CNT), organe politique de la rébellion libyenne, Abdel Hafiz Ghoga, a déclaré qu’il pourrait se trouver à Bani Walid, une localité située au sud-est de Tripoli, mais que ces informations n’ont pas été confirmées. Les rebelles ont également cité Syrte, région d’origine du colonel libyen toujours aux mains des pro-Kadhafi, parmi les possibles refuges de l’ex-leader. Dans son avant-dernier message, il y a une semaine, Muammar Kadhafi a affirmé s’être promené incognito dans Tripoli et a appelé les habitants à “nettoyer” la capitale des rebelles.

“Je me suis promené incognito, sans que les gens me voient, et j’ai vu des jeunes prêts à défendre leur ville”, a affirmé le colonel libyen dans ce message également diffusé par la chaîne Arrai, basée à Damas. Mercredi soir, un de ses fils, Seif al-Islam, disant se trouver dans une banlieue de Tripoli, a appelé, dans un message diffusé par Arrai, à “résister” face aux rebelles et a affirmé que son père se portait bien. Le nouveau message sonore de Muammar Kadhafi survient alors que les signes de reconnaissance se multiplent pour le Conseil national de transition (CNT), qui attend des actes concrets de la communauté internationale réunie à Paris pour lancer la transition politique vers une “Libye libre” et la reconstruction du pays.

Le 1er septembre 1969, le “Mouvement des officiers unionistes libres”, dirigé par Muammar Kadhafi, a déposé le roi Idriss et installé un conseil de commandement de la révolution.

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