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KHEPERANKH-STREET SCHOOL PRESENTE SA SESSION CULTURE DE FEVRIER 2012 !

 

Le centre culturel urbano-panafricain KHEPERANKH-STREET ouvre sa session culture de février au public le jeudi 23 et vendredi 24 février 2012. C’est l’occasion pour ceux qui souhaitent étudier le patrimoine à tous les niveaux de s’inscrire au KHEPERANKH-STREET SCHOOL.

Pour le public, il s’agira de vivre en même temps que les étudiants l’art et l’histoire par des interventions puissantes grâce à la réunion de Danseurs, MC’s, Chanteurs, Musiciens, Dessinateurs, Historiens....

Inscrivez-vous dès maintenant ! Transmissions directes pour tous dès l’âge de 8 ans ! Ceux qui n’aiment pas Kemet (l’Afrique) et le Hip-hop authentique aux valeurs Zulu, s’abstenir !

Au programme sur les 2 jours :
- DJ Live avec Pytch
- Danses Hip-hop, Krump
- Vocal urbain
- Culture
- Démonstrations et
Interventions artistiques
Et bien plus encore !

Entrée libre pour le public !

*** Infos pratiques ***

SESSION DE FÉVRIER :
Jeudi 23 février 2012
Vendredi 24 février 2012

MICADANSES :
15, RUE GEOFFROY L’ASNIER
75004 PARIS
MÉTROS : PONT MARIE ET SAINT-PAUL

HORAIRES :
De 14h à 19h

CONTACT : 06 98 97 18 04

EMAIL : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

LIEN : http://www.kheperankh-street.com/ecole/

NEWSLETTER : http://www.kheperankh-street.com/Newsletter/93/

      
PRÉPAREZ VOS BASKETS !

kamayiti,kheperankh-street,max laure,hip hop, break dance,afrique

 

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Venez découvrir la Bande Dessinée Africaine.

L’association MVOG EKONG vous invite à découvrir cet art qui Vous fait rêver depuis votre petite enfance et ce jusqu’à nos jours.

L’Afrique s’approprie de ce savoir faire et vous livre toutes les saveurs de la BD, avec des images époustouflantes, des histoires authentiques, qui vous incitent à vous abreuver aux sources de la force vitale.

En effet, "Les chrétiens ont la Bible, les musulmans ont le Coran, l'Homme Fang-Beti a le Mvet!!!!"

Accompagné de Grégoire Biyogo cet éminent intellectuel, vous comprendrez

le Mvet : du récit oral à la raison graphique et,
avec Ngomo Privat vous saisirez, le Mvet : de la graphie à la bande Dessinée.


UN MOMENT UNIQUE POUR FAIRE CONNAISSANCE A LA BD AFRICAINE JAMAIS VU ENCORE.


VOTRE PRÉSENCE EST INDISPENSABLE
                       

    SAMEDI, 21 JANVIER 2012
de 13h30 à 19h
Salle associative
11, rue des anciennes mairies
92000 Nanterre
RER A Nanterre Ville

 

Teaser : {hwdvs-player}id=581|width=400|height=340|tpl=playeronly{/hwdvs-player}


 

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Succès énorme pour Kheperankh-street à Paris.

Nombreux sont ceux qui sont venu goûter ce succulent art de rue, la culture urbaine, dans sa plus pur tradition, et dans le respect de ses concepteurs. En effet, l’esprit d’afrika bambaata planait sur la salle pour suivre le déroulement de tous ces chorégraphies à l’ancienne. On se croirait retourner au début des années 80 ou l’on apprenait de nouveaux pas, ou  chaque geste rythmait avec le son, s’enchaînant et en entraînant un autre ou une autre personne, tout cela avec la complicité du DJ, un élément phare, de cette envolée artistique.

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*** 10 PLACES A GAGNER VALABLES POUR LE PROGRAMME ANNUEL DE SESSIONS 2010/2011 DE KHEPERANKH-STREET SCHOOL ! ***

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Afrique-Caraïbe : Cinquantenaire d’Indépendance ou de Dépendance ?

 

<!--[if !supportLists]--> -          <!--[endif]-->En hommage à Ne Vunda, premier ambassadeur Noir au Vatican 1608

<!--[if !supportLists]--> -          <!--[endif]-->En l’honneur à Haïti, première République Noire indépendante.

 

Nous initions une table ronde intitulée :

De Toussaint-Louverture à Nelson Mandela, en passant par Nkwame Nkrumah, Lumumba :

Afrique-Caraïbe : Cinquantenaire d’Indépendance ou de Dépendance ?

 

Le Samedi 24 juillet 2010, de 18h00 à 23 h à Paris

Lieu : AGECA, 177, rue de Charonne, 75011 Paris, Métro : Alexandre Dumas, ligne 2.

Droit d’entrée unique 5€

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La littérature naît de l’écriture. Elle fait corps avec elle, pour traduire ce dont notre esprit, notre cerveau, désirent exprimer. Elle s’attache singulièrement à un pays, à un peuple, à un continent : littérature Africaine (KAMA), française, anglaise, européenne.

 

Telle une bulle grossissant sans limite, elle devient un patrimoine identitaire. En elle viennent s’ajouter toute l’histoire, les pensées de groupes humains. Elle sert de boussole, de ponts de passerelle d’échange pour que la culture s’enrichisse.

 

C’est une sphère dans laquelle les mouvements d’opposition, de divergence, de consensus, cohabitent ; comme des membres animés, et assoiffés de connaissance.

 

Elle occupe votre vie, l’enjolive, ou l’accable selon la transmission ou les anecdotes écrites ou orales. C’est l’instrument qui garde le souffle de nos aïeux dont nous sommes les courroies de transmission, et dont la rupture est comparable à l’effet d’une bombe. Car, elle contient la culture, notre culture, donc, le sens de notre vie.

 

Quand la plateforme identitaire n’est pas construite, tout le génie d’un peuple disparaît, au dépend d’un autre car la différence épidermique et idéologique a créé des sous-ensembles humains distincts, qui s’affrontent, s’asservissent, dans le but de gonfler et d’agrandir son territoire physique et imaginaire.

 

La littérature n’a jamais attenté à une possible substitution à l’histoire, ni à la science, mais s’accole à eux comme une sangsue, pour être incontournable, omniprésente, elle embellit la science et la rend plus attractive, plus comestible aux néophytes qui tâtonnent, titubent dans ces disciplines : littérature scientifique.

 

Vous, cher internaute, qui désirez apprendre, comprendre cette littérature Kmt (noire), la possédée pour le bienfait de notre peuple marginalisé, exproprié. Nous comptons, à notre modeste niveau, vous faire découvrir la richesse d’une littérature vivante qui s’accommode de l’univers Africain, le plus étendu possible.

 

Loin d’être un espace terne, KAMA, (l’Afrique) entrebâille sa porte, pour que qui veut, la dépouille et lui vend ses propres produits modifiés. Pas un jour ne passe sans qu’un livre n’apparaisse sur KAMA ; pas un jour ne passe pour qu’une émission télévisuelle ne fasse mention de ses forêts, ses animaux.

 

Mais ceux qui viennent n’ont jamais eu pour intention de partager la moisson avec nous, mais s’en servent comme objet de domination, et de suprématie, sur des hommes qu’ils considèrent comme inférieurs.

 

Le temps de passer à l’assaut est venu, contre ce sous- ensemble qui se veut moteur de notre vie, et méprise notre droit à l’existence.

 

Pas de Kmt (noir) à la télé, ou bien lorsqu’ils y sont, ce n’est que pour présenter des émissions de variétés, faire le clown, ayant des habitudes sexuelles bizards.

 

Plus nombreux nous serons à faire cette démarche vers notre communauté, plus ils comprendront que le peuple Kmt (noir) est en route pour prendre en main son destin, et devenir maître de sa culture et de sa littérature.

 

Nous sommes différents, nous voulons être détenteurs de notre différence et l’assumer avec force ! Car il n’y a pas de mal à être Kmt (noir), cette couleur qui se confond à la terre, la terre remplie d’éléments de vie : comment ne pas être fiers !

 

Sauvage, homme des bois si vous voulez, qu’importent vos épithètes, nous l’assumons ! Mais ces forêt sont le lieu de concentration de l’intelligence, pour lequel vous envoyez de nombreux scientifiques qui s’attèlent à concentrer leur effort de compréhension de ces lieux, pour agrandir leur intelligence.

 

Alors, pourquoi tant de mépris pour ces hommes de bois qui comblent vos retards scientifiques ? Comment omettre ces précieux faits qui valorisent et qui mettent l’homme noir à tout point votre égal.