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La décision de la France révélée par le Figaro mercredi dernier de livrer des armes aux insurgés libyens de Benghazi suscite l'indignation dans le monde. Le président de la Commission de l'Union africaine, Jean Ping, a  déclaré à la BBC le jeudi 30 juin que ces livraisons d'armes favorisaient "le risque d'une guerre civile, le risque d'une partition de l'Etat, le risque d'une "somalisation" du pays, le risque de prolifération des armes en lien avec le terrorisme". Le ministre russe des affaires étrangères Sergueï  Lavrov a qualifié cette livraison d'armes de "violation grossière de la résolution 1970 du Conseil de sécurité de l'Onu". Paris a tenté de se défendre en déclarant qu'il ne s'agit que d'armes légères, larguées à l'occasion d'opérations d'aide humanitaire en faveur de populations sous la menace des troupes de Mouammar Kadhafi dans une région située à quelques dizaines de kilomètres de Tripoli, mais ces assertions sont invérifiables pour le moment.
 

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La Grèce, cette vieille nation qui a civilisé toute l'EUROPE a déclaré faillite et affiche désormais sa volonté de sortir de la zone euro. La population n'en peut plus et le gouvernement est obligé de faire la manche à Bruxelles pour avoir un peu de liquidité. Les Grecs avaient pensé à tout, sauf à posséder des colonies en Afrique. Autrement, ils ne seraient pas dans ce pétrin.

 Les Portugais, de plus en plus confrontés au chômage préfèrent se tourner vers l'Angola, le nouvel eldorado pour servir de main d'oeuvre, mais les Chinois qui n'ont jamais sommeil sont déjà sur place pour s'occuper des chantiers. Certains citoyens portugais revendiquent même d'avoir un ancêtre africain et d'autres s'empressent à reconnaître tous les bâtards qu'ils ont laissés  pendant la période coloniale afin de bénéficier des mesures d'accompagnement. Le problème est que tous ces enfants ont grandi et n'ont plus besoin de père. C'est trop tard, il fallait y penser avant. Add a comment

Nouveau coup de force en Equateur

Faute d’alliance politique de taille en Amérique du Sud, les USA, après avoir soutenu le coup d’état au Honduras, se tourne maintenant vers l’Equateur qui doit  faire les frais d’un empire moribond, de plus en plus agressif. Il est vrai que Bush avait réactivé la quatrième flotte qui désormais patrouille dans les eaux caribéennes.

Au même moment, le Venezuela s’allie  avec les Russes obtenant ainsi des armes et des munitions. Le pays sud américain entreprend aussi des exercices militaires sur le porte-avions russe Pierre Le Grand. Les Russes étaient alors déterminés à soutenir leur allié caribéen. Il est vrai que le contexte s’y prêtait : les Etats-Unis soutenaient la Géorgie pour reprendre l’Ossétie du Sud, l’Otan avait fait une percée dans la Mer Noire. C’est là que Sarkozy entame un jeu diplomatique ambigu entre les deux protagonistes. Ces manœuvres Sarkozistes auréolées par les médias entraineront plus tard l’entrée de la France dans l’Otan.

La donne semble réellement changer depuis que Medvedev, le président russe, a décidé de se confronter à son ami de longue date Poutine, son premier ministre, très populaire au sein du Parti majoritaire, Russie Unie.

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Le président iranien, Mahmoud Ahmadinejad provoque les Américains sur leur propre sol. Il les promet une guerre sans limites si jamais un conflit éclatait entre son pays et les Etats-Unis. Il dénie aussi à l’Amérique le droit de regard dans les affaires intérieures de son pays et de celles des Etats du Moyen-Orient.

 L’escalade verbale et les provocations réciproques auxquelles se livrent l’Iran et les Etats-Unis depuis l’avènement de la République islamique en 1979 ont atteint cette semaine un nouveau pallié. Le président Mahmoud Ahmadinejad a évoqué, mardi à New York, les risques d’une guerre ‘sans limites’ avec l’Amérique qu’il accuse de vouloir dominer l’Iran et le Moyen-Orient. Le chef de l’Etat iranien, toujours fidèle à lui-même, a fait cette déclaration lors d’une conférence de presse organisée à l’intention des médias américains en marge du sommet des Nations unies sur les Objectifs du millénaire pour le développement. L’occasion pour Ahmadinejad de se livrer à une véritable diatribe contre les Etats-unis. ‘Les Etats-unis n’ont jamais connu de guerre sérieuse et n’ont jamais été victorieux’, a-t-il déclaré, selon liberation.fr citant l’Afp.

 Le président iranien lance un défi à la toute puissante Amérique dont il met en doute ses réelles capacités en matière de guerre. ‘Les Etats-unis ne comprennent pas à quoi ressemble une guerre. Quand une guerre commence, elle ne connaît pas de limites’, a-t-il martelé. L’homme fort de Téhéran dénie aussi aux Etats-unis le droit de s’occuper des affaires internes de son pays et de celles des Etats du Moyen-Orient en général. Il semble ainsi faire allusion à la présence américaine dans la région notamment en Irak et dans les différentes monarchies du Golf et le soutien accordé à Israël, principal allié des Etats-unis au Moyen-Orient, par la Maison Blanche. ‘Les Etats-unis ne doivent pas s’occuper des affaires de l’Iran et du Moyen-Orient. Il est de l’intérêt du peuple américain de s’entendre avec l’Iran. La première étape (pour les Etats-unis) est de changer d’attitude. Tant que le gouvernement américain cherche à dominer le Moyen-Orient et l’Iran, le problème (entre Washington et Téhéran) ne sera pas résolu’, a prévenu le président Ahmadinejad.

 Le chef de l’Etat iranien s’en est aussi vivement pris à Israël dont il semble minimiser ses capacités de nuisance en cas de conflit entre les deux pays. Pour lui, l’Etat hébreux ne constitue pas une menace réelle pour la sécurité de son pays. A en croire, Mahmoud Ahmadinejad, la perspective d’une attaque des installations nucléaires iraniennes par l’avion militaire israélienne avec la complicité des Etats-unis n’est pas imaginable. Quoi qu’il en soit, cette éventualité ne semble guère inquiéter, outre mesure, l’homme fort de l’Iran, pour qui l’Etat hébreux ne présente absolument aucun danger. ‘Pensez-vous tout d’abord que quiconque attaquerait l’Iran ? Je ne le pense vraiment pas. Le régime sioniste est une petite entité sur la carte, au point même qu’elle n’apparaît pas comme un facteur réel dans notre équation’, a-t-il souligné.

 Le président iranien répondait ainsi à une question d’un journaliste qui lui demandait s’il considérerait ‘comme acte de guerre’ l’utilisation de l’espace aérien irakien par les avions de combat israéliens pour aller bombarder les sites nucléaires iraniens avec le soutien des Etats-Unis.

 UN LOURD CONTENTIEUX OPPOSE L’IRAN A L’AMERIQUE : L’élection du président Ahmadinejad empoisonne les relations entre Washington et Téhéran

 Les relations entre Téhéran et Washington sont tendues depuis la rupture des relations diplomatiques entre les deux pays, il y a un peu plus de trois décennies. Depuis la chute de la monarchie iranienne et l’avènement de la République islamique en février 1979, les rapports entre ces deux anciens alliés n’ont cessé de se dégrader. On peut citer, entre autres, la spectaculaire prise d’otages des membres de l’ambassade américaine à Téhéran dans les années 80 par les gardiens de la révolution, l’échec de la tentative de leur libération par la force par les marines et le soutien américain au régime de l’ancien dictateur irakien, Saddam Hussein, pendant la guerre Iran-Irak. Le programme d’enrichissement nucléaire iranien, initié récemment par le régime conservateur au pouvoir à Téhéran avec à sa tête le président Ahmadinejad, est venu alourdir ce contentieux entre Washington et Téhéran.

 Les Etats-unis accusent le régime des Mollah de vouloir se doter de l’arme nucléaire. Ce qui constituerait, selon les stratèges du Pentagone, une menace sérieuse pour la sécurité de leurs alliés dans la région, notamment l’Israël et les Etats modérés du Golf comme l’Arabie Saoudite. Ce que démentent les autorités de Téhéran qui disent vouloir se doter de l’énergie nucléaire civile. Récemment, les Nations unies sous la houlette des Etats-unis, ont renforcé les sanctions contre l’Iran pour son refus de coopérer avec les inspecteurs de l’Agence internationale de l’énergie atomique.

 Mamadou Aliou DIALLO

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Le président vénézuélien a cité en exemple le programme politique présenté par Thomas Sankara, dirigeant et martyr de la révolution du Burkina Faso, le 4 octobre 1984 à la tribune de l’Organisation des Nations unies.

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